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Gamme humide PRO PLAN® pour les chiens : une nouvelle expérience gustative pour vos patients

L’alimentation humide est déjà bien connue et largement utilisée chez le chat en physiologique comme en thérapeutique, notamment pour son rôle dans l’hydratation et son excellente appétence. Chez le chien en revanche, son intérêt reste encore sous-estimé alors qu’il offre les mêmes bénéfices. Avec cette nouvelle gamme physiologique humide PRO PLAN®, vous disposez d’un outil simple et attractif pour varier l’alimentation des chiens en bonne santé et répondre aux attentes des propriétaires en quête de qualité, de diversité et de plaisir dans la gamelle de leur compagnon.

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Canine EN Gastrointestinal Low fat : le nouveau choix malin pour les chiens en restriction lipidique

Les affections gastro-intestinales constituent l’un des principaux motifs de consultation en médecine canine. Vomissements, diarrhées, inconfort abdominal ou perte de poids peuvent avoir des origines variées mais ils partagent tous un impact majeur sur la qualité de vie de l’animal et sur la relation avec son propriétaire. Les désordres impliqués –  qu’ils soient d’origine inflammatoire, infectieuse, métabolique ou fonctionnelle – peuvent provoquer des perturbations de la digestion, de l’absorption des nutriments et de l’équilibre hydroélectrolytique. Au-delà des traitements médicamenteux et du diagnostic étiologique, la nutrition constitue alors un levier thérapeutique central.

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Le parage des pieds des bovins : pourquoi, comment et à quelle fréquence ?

Le bien-être des bovins passe aussi… par leurs pieds ! Trop souvent négligé, le parage des onglons est pourtant un acte clé pour prévenir les boiteries, améliorer le confort des animaux et optimiser leur production, que l’on parle de bovins laitiers ou de bovins allaitants, voire pour les jeunes bovins à l’engraissement. Chez le bovin adulte, près de 95 % des causes de boiterie sont d’origine podale !

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Retraite des vétérinaires libéraux : anticiper pour en profiter !

Le débat autour des retraites occupe une place centrale dans l’actualité sociale et économique. Vieillissement de la population, allongement de la durée de vie, déséquilibre entre actifs et retraités : autant de facteurs qui pèsent sur la pérennité des régimes de retraite en France. En 2024, l’âge moyen de départ à la retraite s’élevait à 63,6 ans, avec une durée moyenne passée en retraite estimée à plus de 24 ans, et le rapport actifs cotisants/retraités est tombé à 1,67. Ces tendances montrent plusieurs choses : l’âge effectif de sortie du monde du travail et de départ à la retraite progresse, la population retraitée est de plus en plus nombreuse, et la durée passée à la retraite s’allonge, particulièrement pour les femmes. Ces évolutions expliquent les réformes successives, visant à garantir l’équilibre financier du système tout en tenant compte de la diversité des statuts professionnels. Pour les vétérinaires libéraux, comme pour tout professionnel indépendant, cela signifie que les modalités de calcul (nombre d’années cotisées, régime de base et complémentaires, taux de cotisation, etc.) doivent être envisagées sur un horizon plus long, afin d’assurer une retraite suffisante et durable.

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Nettoyage des oreilles du chien et du chat : les bons gestes pour éviter les erreurs

Intuitivement, le nettoyage des oreilles de nos compagnons domestiques, chiens comme chats, apparaît comme un préalable incontournable au traitement des otites mais aussi, comme un élément de leur prévention. Néanmoins, le bénéfice du nettoyage n’est pas toujours si évident et il dépend des circonstances. En effet, d’après une étude parue dans le Vet Dermatology1, le bénéfice du nettoyage n’a pu être démontré qu’en cas de présence de certaines bactéries, les bacilles.

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Dentastix™ Light : un nouvel allié pour la prévention bucco-dentaire des chiens en surpoids

La santé bucco-dentaire est un enjeu souvent sous-estimé en médecine vétérinaire alors que les problèmes dentaires sont monnaie courante chez nos animaux de compagnie. Batônnets et lamelles à mâcher, souvent considérés comme des friandises trop riches et peu efficaces pour prévenir la formation de la plaque dentaire, ont parfois une mauvaise image. Pourtant, leur consommation s’avère un véritable atout dans la lutte contre la plaque dentaire et le tartre, chez nos compagnons canins. En réduisant la formation de plaque dentaire et de tartre, ils s’intègrent facilement dans une routine de soins simple et efficace pour aider les propriétaires à prendre soin des dents de leur chien au quotidien.

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Hypocorticisme canin (maladie d’Addison) : reconnaître, confirmer, traiter

Rare mais potentiellement grave, la maladie d’Addison chez le chien est une affection endocrinienne à ne pas négliger. Les signes cliniques sont souvent vagues, évoluant sur plusieurs semaines, et peuvent retarder le diagnostic. Pourtant, en situation aiguë, une crise Addisonienne peut engager le pronostic vital. Reconnaître les indices biologiques clés, confirmer le diagnostic et instaurer une prise en charge adaptée peuvent permettre de sauver l’animal et d’offrir, avec un traitement substitutif bien conduit, une qualité de vie durable.

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Vétérinaires et ASV : un duo essentiel pour le bien-être en clinique vétérinaire

Cet été, après avoir exploré le rôle des auxiliaires dans le bien-être animal et dans la cohésion d’équipe ASV, ce dernier volet met en lumière leur apport précieux auprès des vétérinaires. Présents à chaque étape, y compris lors des urgences, parfois même de nuit, et des moments de tension, les auxiliaires vétérinaires apportent un équilibre émotionnel, organisationnel et humain indispensable à la profession.

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WhatsApp, Teams ou Slack : quel outil choisir pour une meilleure communication en structure vétérinaire ?

Dans une structure vétérinaire, la communication est essentielle : il faut se transmettre les consignes, partager les informations sur les patients, gérer les plannings et les urgences… Mais trouver le temps de communiquer efficacement dans vos journées ultra chargées n’est pas toujours évident ! Résultat : entre les appels, les post-its et les conversations à la volée, les messages se perdent vite... De plus en plus de cliniques cherchent donc à utiliser des outils numériques pour fluidifier leurs échanges (et on ne peut que les en féliciter !) WhatsApp, Slack, Teams… trois outils, trois styles, mais un seul objectif : rester connectés et efficaces.

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Tapis chauffant en anesthésie vétérinaire : un allié indispensable, sous haute surveillance

Le maintien de la température corporelle chez les animaux anesthésiés est un enjeu majeur en chirurgie. Le tapis chauffant est l’un des dispositifs les plus utilisés pour lutter contre l’hypothermie peropératoire des petits animaux. Toutefois, son utilisation nécessite des précautions strictes afin d'éviter des effets indésirables, notamment les brûlures. En tant qu’ASV, vous jouez un rôle clé dans la préparation, l'installation, l’utilisation et la surveillance de ce matériel.

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Vétérinaires et parents : faut-il montrer la réalité du métier à ses enfants ?

Grandir aux côtés d’un parent vétérinaire, c’est être exposé très tôt à une réalité singulière. Il n’échappe pas aux enfants que le vétérinaire n’est pas seulement celui qui guérit les animaux. Il incarne également la main qui les opère, le médecin qui se pose en témoin de leur souffrance, leur donne la mort parfois. Autant de situations délicates susceptibles d’occasionner de multiples questions, mais aussi d’attiser leur curiosité.

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Hallucinations de l’IA : ne pas se laisser berner en pratique vétérinaire

L’intelligence artificielle (IA) s’invite de plus en plus dans notre quotidien professionnel, des rédactions de comptes rendus à l’assistance au diagnostic. Mais derrière ses réponses fluides et sûres d’elles, l’IA cache un talon d’Achille : les hallucinations, ces informations inventées qui peuvent induire en erreur. Dans un contexte médical, cette faille peut avoir des conséquences sérieuses. Alors, comment profiter des avantages de l’IA sans tomber dans ses pièges ?

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Inaptitude au travail : que faire si vous êtes ASV ?

L’inaptitude médicale d’un ou une auxiliaire spécialisé vétérinaire est une situation délicate, tant pour le salarié que pour l’employeur. Diagnostiquée par le médecin du travail, elle peut survenir à la suite d’un accident, d’une maladie ou d’une dégradation progressive de l’état de santé. Cette reconnaissance d’inaptitude au poste de travail occupé, partielle ou totale, temporaire ou définitive, engage une procédure strictement encadrée par le Code du travail. Pour l’ASV concerné, c’est souvent un moment de grande incertitude, où les enjeux sont à la fois professionnels, financiers et personnels. Pour l’employeur, c’est une obligation de se conformer à une série d’étapes précises, sous peine de sanctions. Faisons le point sur les droits et devoirs de chacun, pour que cette situation soit gérée dans le respect de la loi et dans les meilleures conditions humaines possibles.

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La réactivité chez le chien, un comportement indésirable fréquent et assez mal compris

Bien qu’il s’agisse d’un motif de consultation fréquent en médecine du comportement, la réactivité n’est pas définie scientifiquement par les vétérinaires. Les causes sous-jacentes sont nombreuses et la prise en charge d’un chien dit « réactif » reste complexe. Elle nécessite un investissement important de la part du propriétaire et un travail en équipe avec un ou une éducatrice compétente.

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La contention du cheval, limiter le stress de l’animal en assurant la sécurité des humains

Les soins vétérinaires sont générateurs d’émotions négatives pour l’animal, d’autant plus si le cheval est blessé, douloureux et qu’il a dû être transporté jusqu’à la clinique pour y être soigné. Face à un évènement désagréable, le cheval va d’abord chercher à fuir. Si la fuite est impossible, parce qu’il est attaché ou contenu, le cheval peut présenter des comportements qui peuvent le rendre dangereux pour l’équipe vétérinaire.

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