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La maladie de Cushing chez le cheval en 5 minutes chrono !

La maladie de Cushing, ou plutôt PPID (Pituitary Pars Intermedia Dysfunction), est l’affection endocrinienne la plus fréquente chez le cheval. Elle touche 20 % des chevaux de plus de 20 ans et jusqu'à 30 % des chevaux de plus de 30 ans. Le diagnostic et la prise en charge thérapeutique font consensus, mais il convient de ne pas négliger le syndrome métabolique équin, deuxième affection endocrinienne du cheval, car de nombreux chevaux sont susceptibles d’être atteints par ces deux entités.

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ASV, réveillez l’acteur·rice qui sommeille en vous

Vos audiences sont en baisse, l’algorithme de Méta vous met des bâtons dans les roues, vous avez envie de changement ou, tout simplement, vous avez envie de communiquer plus, voire de communiquer mieux ? Avez-vous pensé au format vidéo ? La vidéo est aujourd’hui devenue indispensable, notamment sur les réseaux sociaux. Les internautes en sont fans et vous savez quoi ? Ce n’est pas si difficile à mettre en place ! Dans cet article, on vous dit tout (ou presque) pour faire de vous le prochain Steven Spielberg (ou presque). 

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Du nouveau concernant l’exclusion d’un cheval de la filière bouchère

Le cheval présente la particularité de se trouver au carrefour entre une filière loisir, une filière sportive et une filière bouchère. Même si le marché de la viande de cheval en France est clairement en berne (les abattages ont été divisés par six en dix ans et seuls 7 % des foyers consomment encore de la viande de cheval), tout équidé, dès sa naissance, peut potentiellement être abattu pour entrer dans la chaine alimentaire. Depuis 3 ans, il ne suffit plus au propriétaire de cocher une case sur le carnet du cheval pour l’exclure de la consommation humaine… et on peut le déplorer ! Le règlement européen 2021/963 prévaut désormais sur celui de 2016/429 ; voyons ce que cela change.

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Parcours de vétérinaires aidant.e.s- Episode 3 : Partager la charge de l’aidance

Dimanche 6 octobre dernier se tenait la journée nationale de l’aidance. Deux jours après, France Télévision diffusait en prime time un film suivi d'une émission débat sur le thème : “ Aidants, il est temps de les aider ” [1]. Les pouvoirs publics ne s’y sont pas trompés, le sujet est d’importance. Souvent perçu·e·s comme des wonder wo·men infaillibles, les aidant·e·s sont pourtant exposé·e·s à une lourde charge - émotionnelle, financière, physique - aux répercussions insidieuses. Parfois isolé·e·s, souvent surmené·e·s, nombreux sont ceux et celles qui s’oublient, perdant de vue l’idée qu’eux·elles aussi peuvent avoir besoin d’être accompagné·e·s.  

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ASV francophones à travers le monde – Épisode 3 : la Suisse

Après avoir exploré les spécificités du métier d’ASV en Belgique, puis au Québec il y a quelques semaines maintenant, partons à nouveau en direction d’un pays frontalier de la France, la Suisse. Nommés « AMV » pour « assistant·e·s en médecine vétérinaire », le travail des ASV suisses et les qualités requises sont sensiblement les mêmes qu’en France. Là-bas, un diplôme, reconnu par l’État, est délivré après trois années d’études en alternance. Les débouchés concernent principalement le travail en clinique vétérinaire canine. Quelques postes sont également disponibles dans les jardins zoologiques, les refuges ou les pensions, mais aussi dans les centres d’incinération pour animaux ou les laboratoires de l'industrie pharmaceutique. Il est possible, avec un diplôme français, d’aller exercer en Suisse, mais seulement après avoir suivi un parcours administratif pour obtenir une équivalence.

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Gérer le débit des perfusions

La perfusion intraveineuse est un acte très courant et fondamental du soin vétérinaire. Les indications de perfusions intraveineuses sont nombreuses comme le soutien de la fonction rénale, la correction ou la prévention d’une déshydratation et bien d’autres choses encore. Cependant, cet acte n’est pas anodin et nécessite précautions et surveillance, notamment par les ASV, pour être efficace sans provoquer d’effet néfaste sur la santé de nos patients.

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Devenir le vétérinaire traitant des animaux de nos ASV : un cap pas si simple à franchir

Alors que nos « 30 millions d’amis » sont progressivement devenus 75 millions d’animaux de compagnie et que 61 % des français en possèdent au moins un, il y a fort à parier que parmi nos ASV, cette proportion explose. Et si la plupart des auxiliaires vétérinaires sont aussi des « pet-parents », nul doute qu’un jour ou l’autre, « l’appel à un vétérinaire » peut s’avérer nécessaire. Quand nos ASV deviennent nos clients, quand leurs animaux deviennent nos patients, rien n’est plus pareil. Situation clinique plus facile à gérer pour les uns ou plus délicate pour les autres, tout est une question de contexte mais ce qui est sûr, c’est que nous devons tous nous adapter.

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Soigner les animaux de nos ASV : pourquoi passer le cap n’est pas si évident pour nous, les vétérinaires ?

Alors que nos « 30 millions d’amis » sont progressivement devenus 75 millions d’animaux de compagnie et que 61 % des français en possèdent au moins un, il y a fort à parier que parmi les ASV, cette proportion explose. Et si la plupart des auxiliaires vétérinaires sont aussi des « pet-parents », nul doute qu’un jour ou l’autre, « l’appel à un vétérinaire » peut s’avérer nécessaire. Quand vous, nos ASV, devenez nos clients, quand votre animal devient notre patient, rien n’est plus pareil. Situation clinique plus facile à gérer pour les uns ou plus délicate pour les autres, tout est une question de contexte mais ce qui est sûr, c’est que nous devons tous nous adapter.

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